Les premiers pas avec les données de collecte
Comment les données de collecte du KMSKA peuvent-elles être mieux trouvées et utilisées ? Cette question était à l'ordre du jour de l'Intrapreneurship Sandbox Flanders, un projet d'innovation du gouvernement flamand. Pendant cinq jours, les participants ont relevé le défi suivant : comment encourager les étudiants et les enseignants à travailler avec la collection numérique ?
La collection du KMSKA contient une grande quantité de données ouvertes. Des images haute résolution, des métadonnées et des manifestes IIIF sont accessibles au public via le site web, une API ouverte et des plateformes externes. Pourtant, de nombreux utilisateurs trouvent qu'il est difficile d'accéder à ces ressources. Pourtant, la collection offre de précieuses opportunités pour l'éducation, la recherche et la réutilisation créative.
D'un problème à un prototype
Parmi plus de 40 soumissions, la proposition de projet du KMSKA a été sélectionnée pour participer à Sandbox Flanders. Lors du sprint de conception, une première solution a été élaborée en collaboration avec des experts externes. Au cours de la semaine, un prototype a été développé : l'usine KMSKA. Grâce à une barre de recherche dynamique, les utilisateurs peuvent compiler des sous-collections basées sur des mots-clés ou des thèmes. L'outil permet ensuite de créer quelque chose avec ces images, comme un quiz, une histoire ou un jeu.
Pour le KMSKA, Chantal Lefeber (TIC), Manou De Sutter (informations sur la collecte) et Joy Eyeson (opérations publiques) ont participé à l'atelier. L'atelier était supervisé par Sandbox Flanders. Des experts externes ont partagé leurs connaissances avec, entre autres, Meemoo, Microsoft, Het Facilitair Bedrijf, FARO, Digitaal Vlaanderen, KULeuven, Design Museum Gent et Technisch Atheneum Brasschaat.
Prochaine étape en septembre
Une formation au pitch suivra après l'été. Le 22 septembre, le prototype sera présenté à un jury indépendant à Bruxelles, en même temps que les quatre autres projets sélectionnés. Le gagnant recevra un budget initial de 30 000 euros pour poursuivre le développement de l'outil jusqu'à ce qu'il devienne une preuve de concept ou un produit minimal viable.
