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Op een mooie januarimiddag in het jaar 819 reden twee ridders op snelle rossen

Kladtekst van een ridderverhaal.

Par une belle après midi de janvier de l’an 819

deux chevaliers montant sur deux destriers rapides et suivaient

le chemin                                          menant du Manon de Ballardoise,

proche le moulin de Sansonis, ils s’arreterent court

Sachant que les routes de la Necestrie peu sures et hautes par les lettres

                                                                                                                                              et folâtre esprits

                                                                                                              terreur de la chevalerie errante

La nuit tombait et la corne de la lune portrait au dessin

du Zenith jetant sur l’armure des cher de vagues reflets d’argent (onleesbaar)

Les nobles chevaliers cheva urbi depuis le matin sur cette route deserte

n’agent rencontra que du chapelle délaissé …..

(onleesbaar) et lointain des trompes sonnant (onleesbaar)

à l’entrée ou la sortie de quelque chevalier errants

                                                                                                              ou appelant quelque puis

                                                                                                              attandé dans ces solitudes en

                                                                                                              quite (onleesbaar)

Peut être était ce les plaintes peu sincères mais émouvantes de l’epouse

de Griseldin juchin sur la plus haute tour du Castel et jetant avec

vent ces (onleesbaar) lamentations, l’hypocrite ! ne prit elle pas dans ces larets

a brase visitare : ne le servit elle pas etuvé dans un pâté au poisson loffrite

et ne fut elle pas condamnée par le Sainte Moine, Nicomidder à gemu

qui reçu de votre Père le (onleesbaar) de Prievois 32 alberges et 69 monastres.

Où vont comme une triste cigogne planer ?? les poids morts jusqu’à ce gercles

suit sauvé quelque chevalier de combatres de demons.

                                               A ce moment les appels redoublerent

+ plein de péril                 se signèrent révolument.

 

 

 

 

Un bon limition ballet conte je cuisse rondait un (onleesbaar)

un band la bonne lance ayant accès bien des sauvageons

dans les quivres de la gambie, ombé des couleurs que

elle genre damoiselle subeau et avant attaché

flamancher main pudiques …

 

[tekening, profiel Romeinse keizer ?]

 

et de l’eponge de tontine prisonier de Cerogne Celle prisonier ayant de mordue par un

dragon venimeux ou mitten de la jambe, autrement dit gras double

feu samue par l’interuttion de la haute et puissante vierge

marie. Ce doit par reconnaissance elle fit (onleesbaar) de donner cette

eponge dont elle se bassinat, elle en gagna de grands indulgences

et elle (onleesbaar) de ce peché

avec chapelle (onleesbaar)

On raconte, mais j’en doute fort que le sire de molleton

trompait dans sa soupe après l’opération, cette eponge afin

à vos boire le sur que devait être d’essence miraculeuse. Ce fait

(onleesbaar) pas (onleesbaar) confesseur mais union à notre

histoire

Over dit archiefstuk

Identificatie

  • Objecttypehandschrift
  • TitelOp een mooie januarimiddag in het jaar 819 reden twee ridders op snelle rossen
  • RelatiesAuteur: Ensor, James
  • Onderwerpridders

Kenmerken

  • Genreverhalend proza
  • Dragerpapier [vezelproduct]
  • schrijfmateriaalpennen
  • TaalFrans
  • Digitaal afbeeldingsnummerA3800
  • CopyrightPublic domain

Aantekeningen

  • Annotatie-Inhoud- Onzeker of door Ensor geschreven is. - Tussen twee passages onderaan de pagina staat een schets in potlood en inkt van een man met lauwerkrans in profiel, naar rechts.

Locatie

Extra gegevens

  • IIIF manifesthttps://iiif.kmska.be/iiif/3/35040/manifest.json
  • Record identifier
Rubens

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